Retour en image sur la fête du jeu de Bugarach, invité par l’association Lud’Aude, dont voici le site internet : ludaude.fr n’hésitez pas à aller visiter ! ainsi que leur page facebook : https://www.facebook.com/ludaude
Lud’Aude est une association qui tient une ludothèque itinérante et qui organise des soirées jeux et participe à différentes animations ludiques, ainsi que la fameuse fête du jeu à Bugarach !
Sacanage sur Radio Ballade ! MicMic info locale enregistrée en octobre 2023 a parle de l’activité de la boutique en générale soirées jeux, des animations. Écouter le podcast pour plus d’infos !
Ça y est, c’est l’automne, les soirées jeux reprennent jusqu’en décembre 2023 ! Tous les vendredi soir à la boutique Sacanage, au 7 rue du 11 novembre 1918 à Montolieu.
Venez découvrir gratuitement les jeux du Sacanage, rencontrer les gens de la montagne noire et découvrir les futurs jeux de l’atelier. Il y a un buffet avec de quoi grignoter, chacun et chacune peut ramener un petit quelque chose.
Réservation conseillée, à partir de 18h ! Merci d’arriver avant 21h.
Après un mois de travaux, la boutique emménage au centre du village de Montolieu, dans la continuité des autres boutiques sur la rue principale. La soirée d’inauguration a eu lieu le samedi 17 juin.
Vin et bière locale, pétillant de sureau maison pour arroser des parties de jeux… fabriqués ici !
Rendez-vous unique à Albi pour une nouvelle édition du Gloose Festival, terme inventé qui veut dire un mélange de Gloire et de Loose, quand on ne joue pas forcément pour gagner mais pour faire les plus jolis coups !
Le Chafindikum, à découvrir ou a redécouvrir…
Le petit nouveau a du succès ! Bienvenue au Ronya dans la famille des jeux du Sacanage ! Jeu de stratégie à deux qui se joue sur un plateau en volume. Le jeu intrigue par sa forme et son originalité, une version du jeu en ligne sera bientôt disponible sur ronya.surge.sh 🙂
Aigua nous explique la technique de la sérigraphie dans son atelier NatSens. On commence par déposer une émulsion photosensible sur une toile de soie, tendue et collée sur un cadre en aluminium. L’émulsion ressemble beaucoup à la colle à bois (odeur, texture). Aigua l’applique soigneusement avec une raclette à réservoir sur les deux faces.
Il fait ensuite sécher les cadres ainsi préparés dans son séchoir, puis on attend le lendemain pour pouvoir procéder à l’insolation.
C’est une photo, prise en contre plongée, des néons UV qui se reflètent sur la vitre d’insolation. Sur cette vitre, il y a un calque transparent sur lequel j’ai dessiné l’image à imprimer. Sur ce calque est posé le cadre à insoler avec des poids dessus pour bien bloquer la lumière. Après une minute trente d’exposition environ, l’émulsion photosensible a solidifié partout où les rayons UV sont passés. C’est à dire sur tout le cadre, sauf sur mon dessin.
On est parti pour retirer au jet d’eau (sans trop de pression) toute l’émulsion qui n’a pas solidifié.
Le dessin apparait, malheureusement pour cette fois c’est raté : mon calque a laissé passé de la lumière, l’impression laissera des zone du dessin non-encrées. À recommencer !
Après une quête pour récupérer ou acheter des tissus de qualité auprès des fournisseurs d’Eva – ici une fin de rouleau de coton bleu-nuit qu’il nous fallait pour les sacs de la Flestade, nous commençons à tracer et découper directement dans la matière.
Eva me montre la marche à suivre pour la préparation des patrons et une fois le processus lancé, elle s’installe à la surjeteuse, une machine qui coud et découpe en même temps, permettant des assemblages à la fois solides et propres !
ici pour l’assemblage général des sac sur son autre machine à coudre, plus classique mais tout aussi efficace.
Devant l’incontestable succès de la Ricoulette, un jeu d’adresse qui se joue avec des dés dodécaèdres (c’est à dire à douze faces de cinq côté chacune), il nous fallait assumer les conséquences de notre folle invention et partir à la conquête de l’objet. Comment fabriquer un dé à douze faces ? Après de nombreux essais infructueux avec l’imprimante 3D du Fablab de l’Agglo à Carcassonne, je me tourne vers un être plein de bon sens qui me console de l’échec de la robotique moderne avec la bonne vieille technique artisanale du moulage. Âmes sensibles s’abstenir, il s’agit de fabriquer des trucs !
Il ne faut pas se tromper dans la quantité d’eau que l’on met avec son plâtre, il ne faut pas non plus couler trop de plâtre par rapport au volume dont on a besoin.
Boris dans son atelier qui mélange les matériaux pour la création du moule.
Boris utilise la technique occidentale de coulage dite du « tapotage de la surface pour pas qu’il n’y ait de bulle d’air » dans le mélange.
Et Bim ! un premier moule qui sort presque nickel, hâte de tester ça !!!
Judith qui travaille à Las Tapios, une ferme d’élevage entre Montolieu et Saissac, a récupéré une petite quantité de laine de brebis que l’on va pouvoir transformer en jetons pour le jeu des Minutors ! On a trié la laine avant de la nettoyer dans l’eau cendrée et de la faire sécher au soleil. On mise tout sur la météo…
Le résultat final est très prometteur ! Bientôt un jeu avec des jetons en feutrine ?
Aujourd’hui, on va découvrir la fraiseuse de Raphael aux Ares Verts, qui m’explique comment il a fait pour la monter et la configurer lui-même, en partant de zéro et en accumulant des connaissances sur la fabrication numériques de plus en plus pointues. On teste une conception sur Fusion 360 et une découpe avec sa fraiseuse, qui m’impressionne par sa puissance, presque elle m’effraie !
Raphael a mis au point des tableaux pour calculer la vitesse de rotation de la fraise en fonction de la vitesse de déplacement de la tête et de la nature du matériau à découper.